Il y a maintenant deux ans que le photographe Matthias Crépel mène un projet sur l’attachement au territoire sur l’île d’Oléron, porté par le Laboratoire d’humanité. A mi-parcours, il a recueilli déjà plus de 70 interviews d’habitants vivant sur l’île à l’année, shooté une cinquantaine de films de photographie de paysage, et devrait entamer une série d’ateliers pour diversifier ses sources d’inspirations.
A la clé, une exposition qui traverserait toute l’île, intérieure extérieure, et une ou plusieurs publications.
