Le Laboratoire d’humanité est un collectif d’artistes lillois, né du désir d’expérimenter à plusieurs l’observation, la rencontre, et l’interprétation sensible du monde qui l’entoure.

Mobile et en mouvement, il s’empare de thématiques historiques et locales, et se questionne sur le lien qu’entretiennent les habitants avec leur territoire, en croisant les regards et les pratiques.

Chaque réalisation collective est le reflet des expérimentations menées par chacun dans son domaine de prédilection, et de la synergie créée par la rencontre entre deux ou plusieurs artistes aux pratiques singulières.

Le livre, la photographie, l’illustration, l’écriture, la gravure, la vidéo, parfois le théâtre et/ou la danse… tant de croisement possible, de diversité des approches critiques ; le Laboratoire d’humanité bouscule le quotidien, déséquilibre les repères, fait un pas de côté dans un monde que nous croyons connaître.

L’équipe du Laboratoire d’humanité : oréli Paskal, Myriam Plainemaison, Anaïs Suire, Julie Kizylyczko, Rozenn Le Berre, Marion Laboulais, Matthias Crépel, Sylvie Audouin, Emmanuelle Duguet, et Cécila Philipp.

Un peu d’histoire :

Fondée en novembre 2014 par Sylvie Audouin, Gaëlle Vaillant, Agnès Dumas et Matthias Crépel, l’association se développe en premier lieu autour des projets de ce dernier, son directeur artistique. En 2019, fort de nombreuses collaborations artistiques, le Laboratoire d’humanité devient un collectif d’artistes, réunissant une belle diversité de sensibilités artistiques.

Dernièrement au Laboratoire d’humanité

Ce qui nous attache – D’où je viens, où je vais – mai juin 2021

Une nouvelle session de travail sur le terrain, à Oléron, s’est achevée ce printemps pour le photographe Matthias Crépel et son projet Ce qui nous attache. Ce séjours a vu l’aboutissement d’ateliers mené avec des collégiens, en partenariat avec la Communauté de communes Île d’Oléron (financeur des ateliers), en une exposition photographique scénographiée et montée…

Ce qui nous attache – session de janvier, février, mars

Immensités de solitudes, horizons de brouillards, embruns et volutes de sable portées par les vents, les gris et les bruns cèdent progressivement leur place à l’or des mimosas puis aux ponctuations voies lactées des aubépines et des pruniers qui blanchissent la terre d’Oléron avant qu’elles ne verdisse. Cette lumière m’a porté cette fois de l’Irlande…

Ce qui nous attache – session de décembre

Ce mois de décembre a été pour le photographe Matthias Crépel l’occasion de continuer son travail de terrain sur l’île d’Oléron pour le projet « Ce qui nous attache ». En cette période un peu difficile, se loger à Oléron n’en fini plus d’être le nerf de la guerre. Certains habitants contactent les propriétaires de maisons vides…

TRACE TA ROUTE

« Trace ta route » c’est le nom d’un projet de photographie participative initié par Anaïs Suire en octobre 2019, qui a réuni une quinzaine de femmes du quartier de Fives à Lille, autour de la grande question de la place des femmes dans l’espace public. C’est elles qui ont choisi cette appellation-là, car la rue c’est…

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